Détails des communes

ACOUA_____________________________________________.

Maire: K.Abal-Hassane - 2008-2014

La commune se trouve dans le Nord-Ouest de Mayotte, située entre les communes de M'tsangamouji et M'tzamboro. La commune comprend deux villages, Acoua le chef lieu et M'tsangadoua. L'accès se fait principalement par la route RN1 depuis la capitale Mamoudzou et via M'zamboro. On peut y accèder aussi par voie maritime puisque la commune possède une façade maritime exceptionnelle.

L’étymologie du toponyme "Acoua" fait l'objet de plusieurs hypothèses. Les plus sérieuses voient en Acoua le mot austronésien ou proto malgache "Ankouala" qui désigne une baie profonde, l'explication la plus communément avancée fait référence au mot escargot, en malgache "ankora", "ankowa" en shimaoré. De récentes fouilles archéologiques attestent en effet de la consommation de gastéropodes par les anciennes populations.


Ce que je vais raporter est tiré de Wikipédia:

 

Des origines au XIXe siècle

La commune d'Acoua a bénéficié d'une étude archéologique approfondie entre 2005 et 2008 (travaux de Martial Pauly) qui permet de retracer précisément l'évolution du peuplement dans cette baie du nord de l'île ainsi que les grandes évolutions culturelles de sa population entre le Xe et XVIIIe siècle.

Trois localités se succèdent dans la baie d'Acoua entre le ixe siècle et le XIXe siècle. C'est d'abord sur la pointe Kahirimtrou, sur l'actuel site archéologique d'Antsiraqua Boira, que se sont établis les premiers habitants de la baie. Il est difficile de trancher avec certitude s'ils étaient d'origine malgache ou africaine, la double origine est probable. Cette petite communauté pratiquait la pêche (un ancien piège à poisson constitué d'un demi-cercle empierré accolé au rivage est visible à grande marée basse), l'élevage et l'agriculture. L'habitat, probablement en végétal, n'a laissé aucune trace. Aucune mosquée ruinée n'existe sur ce site, qui n'a été répertorié par les chercheurs qu'en 2005. Des contacts commerciaux sont attestés par la présence sur ce site de céramiques moyen-orientales et de marmites malgaches en chloritoschiste.

Au Xe siècle, un deuxième village est fondé non loin, sur un léger promontoire dominant le fond de la baie, sur l'actuel lieu-dit Agnala M'kirini (la mosquée de la forêt). Ce site connaît au XIe siècle un important essor démographique au point d'atteindre rapidement une surface de quatre hectares et de compter parmi les « cités » de Mayotte. Le rempart, qui a fait l'objet d'une étude archéologique en 2008 a été daté du XIe siècle par l'analyse C14 de charbons piégés dans le mortier de chaux du rempart, il s'agit d'un des plus anciens sites fortifiés datés à ce jour aux Comores et permet de repousser à une période assez précoce (le XIe siècle) l'apparition de pouvoirs locaux forts, connus aux siècles suivants sous le nom de chefferie fani. Dans une portion de cette ancienne cité, les fouilles archéologiques ont révélé l'usage progressif de la pierre dans la construction des maisons à partir du XIVe siècle. Au xve – xvie siècles, le sud de cette « cité » est occupé par un quartier de notables constitué de grandes demeures princières (220 m2 chacune) probablement voisines d'une mosquée, dont on n'a aucun vestige archéologique (les traces d'un édifice, daté du XIVe siècle, orienté nord-sud mais hélas détruit en majeure partie par la route principale pourraît être la mosquée). Le reste de l'habitat dans la cité était composé de maisons en matériaux périssables.

L'urbanisation du quartier des notables s'effectue au cours des xive – xviie siècles comme l'ont montré les récentes recherches archéologiques: alors qu'au XIVe siècle, le village enfermé à l'intérieur de son rempart présente que quelques rares constructions en pierre, celles-ci vont considérablement se développer à partir du XVe siècle. Une habitation du XIVe siècle, remarquablement conservée nous permet de restituer l'une de ces habitations: rectangulaire avec un sol surélevé par une épaisse couche de sable, ses murs en matériaux périssables (certainement un assemblage de montants en bois et de cloison en feuille de palmier raphia) reposaient sur des solins maçonnés (un petit muret). Ces habitations sont remplacées à partir du XVe siècle par des constructions prestigieuses: de grandes demeures aristocratiques enfermées à l'intérieur d'un enclos familial maçonné, où, autour d'une cour intérieure se retrouve les différentes parties de l'habitation (chambres, latrine, communs, salle d'honneur avec baraza (banc maçonné), dépendance servant de lieu de stockage et de résidence des esclaves domestiques). Des sépultures (un coffrage rectangulaire maçonné) accolées à l'enceinte de la maison signale le rang aristocratique de ses occupants.

La prospérité dont témoignent ces constructions serait due à la traite des esclaves ainsi qu'à l'exportation de vivres (riz, viande, etc.). En effet, à cette époque, Mayotte, comme le reste de l'archipel des Comores, appartient au réseau de traite des esclaves malgaches et africains exportés en direction du Moyen-Orient. Il est difficile de savoir si le fondateur du village d'Acoua, Bacar Akaruna Maruna, comme le rapporte la tradition, est contemporain de cette époque, mais l'on retrouve dans son nom la racine malgache « Marinh » littéralement « esclave » qui semble à cet époque désigner les chefs exerçant le « métier » de trafiquants d'esclaves.

Ce site est progressivement abandonné aux xviie – xviiie siècles, sans doute à la suite des troubles qui frappent l'île à cette époque. Il est intéressant de noter que l'abandon de la cité est progressif : bien après la destruction de la cité, les ruines sont encore habitées quelque temps avant l'abandon définitif du lieu. Aucune poterie caractéristique de la fin du xviiie et du début du xixe siècle n'a été retrouvée sur ce site majeur. Cependant il est possible que le village d'Acoua de cette époque ait déjà été déplacé à l'emplacement du village du xixe siècle.

Le XIXe siècle

C'est dans la première moitié du xixe siècle siècle qu'une population malgache sakalave s'établit à nouveau dans la baie, cette fois-ci à l'opposé de l'ancienne cité sur l'actuel quartier Tsiraka, sans doute par crainte des esprits qui sont vénérés parmi les ruines de la forêt interdite « Agnala fadi » où l'on croit voir les murs d'une mosquée « Agnala M'kiri ». Vers 1840, c'est au tour de Mtsangadoua d'être fondé par des Sakalaves. Peu d'évènements marquent la vie de ce village paisible jusqu'au début du xxe siècle où, grâce à la personnalité de Cheik Anli, Acoua devient un important centre religieux de Mayotte avec l'introduction des confréries Chadouli.

Durant la Première Guerre mondiale, les autorités françaises craignant que les confréries musulmanes ne pactisent avec l'Empire ottoman et leurs réunions sont interdites. Cheik Anli est même emprisonné quelque temps à Dzaoudzi.

Les évènements marquants du XXe siècle

Jusqu'aux années 1950, toutes les maisons étaient construites en végétal (feuilles de cocotier tressées et raphia), aussi les anciens gardent-ils le souvenir d'un terrible incendie qui ravagea tout le village pendant l'entre-deux-guerres.

Lors des évènements qui accompagnent l’indépendance des Comores, le village, fief indépendantiste « serre-la-main » sous l’impulsion de Said Toumbou, est le théâtre d’affrontements avec les villages voisins, causant plusieurs blessés et une victime originaire de Mtsangadoua. Le village, longtemps isolé du reste de l’île, n'est relié aux réseaux électrique et routier qu’à la fin des années 1980.

 

BANDRABOUA______________________________________________________.

Maire: Fahardine Ahamada_ 2008-2014

Dans le village de Dzoumogné se trouve l’ancienne usine sucrière, vestige de l’époque coloniale qui est resté en activité jusqu’en 1975, date à laquelle Mayotte s’est séparée du reste de l’archipel des Comores. Depuis 1987, ce site est un collège à destination des jeunes mahorais du secteur Nord de l’île et a vu ses effectifs croître énormément puisqu’ils sont passés de cent cinquante huit pour l’année de son ouverture à sept cent cinquante élèves pour l’année scolaire 1996-1997.

Bandraboua est une commune du Nord-Est de Mayotte à proximité de Longoni. L'accès se fait par la route RN1 en partant de la capitale Mamoudzou via Dzoumogné. Elle comprend 5 villages, Bandraboua le chef lieu, Bouyouni, Dzoumogné, Handréma et M'tsangaboua. Du haut de la comuune on peut y voir au loin les bateaux du port en eau profonde y décharger leurs cargaisons.

A partir du village de Dzoumogné, les touristes ont le choix entre deux itinéraires de randonné pédestre : la première, en direction d’Acoua, traverse la zone boisée de Hachiroungou, où les makis, cette espèce endémique de lémuriens, sont très nombreux, tandis que la seconde, plus au nord, en direction du village de M’tzamboro, gravit le mont Dziani bolé, d’où l’on peut jouir d’une très belle vue sur la côte et ses îlots.

La population est de type africaine et un peu malgache, parle de mahorais et le malgache. Comme partout dans les villages Mahorais, la pêche et l'agriculture sont les activités dominantes. Cependant la proximité a la commune de Longoni donne des nouvelles prospectives aux habiants.


BANDRELE_____________________________________________________.

Maire: Moussa Madi N'gabou

La commune se trouve dans le Sud-Est de l'île de la Grande-Terre. L'accès se fait principalement par la route nationale RN3 depuis Mamoudzou et via Démbéni. On peut également y accéder par voie maritime puique la commune possède aussi une façade maritime exceptionnelle. La commune se compose de 6 villages, Bandrélé qui est le chef lieu, Bambo Est, Dapani, Hamouro, Moutsamoudou et Nyambadao.

Ce territoire bénéficie de sites naturels forts agréables qui en font un des espaces touristiques les plus importants de l’île.
Tout d’abord, la commune est bordée d’une succession de plages, notamment celle de Balises, celle de Sakouli, qui se trouvent entre les deux villages traditionnels de Hamouro et Nyambadao, celle de Baragoume et celle de Mtsatroundrou, située dans le creux d’une petite baie et appelée aussi Musicale plage. De plus, à partir de Bandrélé, un sentier de randonnée pédestre rejoint le Mont Bénara, le plus haut de l’ile et dont la végétation luxuriante abonde en particulier de nombreuses variétés d’orchidées, tandis que c’est au pied du mont Choungui qu’ont été construits les villages se trouvant plus au Sud.


Quant aux villages de Moutsamoudou et Dapani, situés à l’extrémité Sud de la commune,
Ils se caractérisent par la pratique de la pêche artisanale, qui représente l’activité de la majorité de leur population.
En raison de telles potentialités touristiques, la politique de développement de la commune met l’accent sur la protection de l’environnement et l’amélioration du cadre de vie des sites touristiques dont les grands lignes sont définies dans la « Charte communale de la protection de l’environnement » de la commune de Bandrélé. Dans ce domaine, les interventions futures du Conservatoire du littoral, établissement chargé de l’acquisition foncière d’espaces naturels à protéger qui sont ainsi rendus définitivement inconstructibles, devraient également revêtir un rôle fondamental. L’action du Conservatoire serait en particulier opportune dans le cas de la pointe de Saziley. Cet îlot de sable blanc représente en effet un site de prédilection, d’une grande richesse écologique, notamment parce qu’il permet l’observation des tortues marines.
Il y est d’ailleurs projeté l’installation d’un observatoire permanent.

A l'extrême sud de la commune, au voisinage du village de Dapani, se trouve l'aédrome de Mayotte-Dapani. Il s'agit d'une piste en herbe, bâtie au milieu d'une palmeraie, destinée aux ULM. Ellle permet aux µULM de ne pas gêner les mouvements commerciaux sur l'aéroport de Pamandzi-Mayotte.

La population de type africaine parle Mahorais en comparaison de quelque village du Nord et du Sud de l'île. L'artisanat est le maître mot de la commune, notamment la production de sel de manière traditionnelle sur les plages de la commune. La population est très encrée dans les traditions et tente tant bien que mal de les préserver. Lapêche artisanale représente l'activité de la majorité de la population. Un contact avec la population vous est conseillé, une rencontre humaine qui ne vous laissera pas indifférent.

 

BOUENI________________________________________________________.

Maire: Ali Hadhuiri

La commune de Bouéni dont le nom signifie la femme en shimaoré est située à la presqu'île au sud-ouest de la Grande-Terre. On y accède plus rapidement depuis Mamoudzou par les villages de Chirongui et de Tsimkoura. Le chef lieu est Bouéni, qui est connu pour sa plage de sable fin, en contrebas du village construit à flanc de colline. De l'autre côté de la prèsqu'île, le village d'Hagnoundrou donne sur la baie de Bouéni ou est installé le centre d'activités nautiques de la commune. La route principale, la CCT6, est le prolongement de la CCT4 depuis Mzouazia.

La commune de Bouèni regroupe, en les répartissant en trois zones, sept villages de la presqu’île située au sud-ouest de la Grande Terre : le chef lieu Bouèni et Bambo-ouest qui constituent la zone 1 ; M’bouanatsa, M’zouazia et Majiméouni, la zone II ; enfin, Hagnoundrou et Moina-trindri, la zone III.

De l’autre côté de la presqu’île, le village d’Hagnoundrou donne sur la baie de Bouéni et c’est là qu’a été installé le centre d’activités nautiques de la commune. 2005 a vu l’inauguration de la nouvelle mairie, ainsi qu’en partenariat avec la mairie de Dijon, l’inauguration du jardin botanique. 

Des hauteurs du mont Ngoujou et Boungougdranavi une superbe vue des plages de Mtsanyounyi [Tahiti plage] vous est offerte. Pendant les marrées basses à la pointe "Chadoni" vous pourrez admirer au large les récifs de "Matré", "Mtsanga" et presque tout le récif de la côte sud-ouest. La population de type afriaine parle le Mahorais et utilise un vocabulaire mahorais soutenu. De la baie de Bouéni la population développe la pêche et l'agriculture. La commune développe ses atouts touristiques notamment par la création du jardin botanique. De la baie de Bouéni, un très beau mouillage est un refuge pour les voiliers en période de tempête. Savourez la cuisine épicée de poulpes, une spécialité incontestée à Mayotte.

CHICONI___________________________________________________.

 

Nom du Maire: Issoufi Madi Mchindra 2008-2014

Chiconi est une commune située au centre-ouest de Mayotte en Grande Terre. C'est une commune d'origine sakalava et qui est composé de deux vilages, Chiconi le chef lieu et Sohoa. La commune semble être à proximité de tout. On y accède par la route national RN2 en partant de la capitale Mamoudzou en moins d'un quart d'heure. Dans la baie de Chiconi la commune semble être protégée des vents forts venant de l'ouest. De sa façade maritime récemment aménagée on peut admirer la commune de Sada en hauteur. Sa magnifique baie lui offre également un mouillage pour les voiliers de passage. Pas loin de la on y trouve la vallée de Coconi mère nourricière de l'île depuis la nuit des temps.

Village d'agriculteurs, de pêcheurs et d'artisans d'origine sakalava, implanté sans doute vers le milieu du XIXème siècle sur les pointes de deux collines séparées par une rivière. Selon la tradition orale, son nom viendrait de l'arabe "Soukini" qui signifie place du marché public. Un substantif attribué par les marchands de la côte Zanzibar dont les boutres sillonnaient le canal du Mozambique. Ils faisaient escale dans les baiens de Mayotte pour se livrer au troc et s'approvisionner en eau et enrées alimentaires locales (riz, coco...).

La ville est composée de plusieirs quartiers: Atapagna, Coconi, Coconi-antéti, Moussa-vitta, Mangabé, Gnambo-héli, Ambani, Scotram, Moussimou, Rassi, Anvondzi, Kavani, Lalagna sohoa, Matsabouri, Cent Villas, Bilambou et Ourini. Avant le tranchement définitive des frontières, Chiconi était composé de 6 villages: Chiconi, Ampandzo, Coconi, Kahani, Sohoa et Ourovéni. Mais on rapporte que lors des partages des communes de Mayotte, la commune de Chiconi a voulu se prendre pour le plus malin de toute Mayotte. donc, à l'arrivée du prefet à Scotram avec ses missionnaire, aucun de ses responsables ( chef du village, maire, etc..), personnes ne voulu l'accueillir sauf le marihémou Babankala, l'autorité a donc tranché de suite et donnant à Chiconi juste la petite parcelle connu de quelque km². alors que normalement la commune de Chiconi s'étand presque tout le centre de Mayotte, entre tsingoni, Barakani, combani, ses limistrophes et que Hapandzo, Kahani, Coconi apartenant à la Commune de Chiconi, sans oublier les Kwolé...

Les premiers habitants avaient implanté leur village sur un site qui porte actuellement le nom de Kavani, menant vers le village de Sohoa. Un chois dicté par la proximité du ruisseau M'ro ny lahilahy. Mais le lieu fut abandonné sur les conseils d'un célèbre foundi du nom de MAdi Saîd, sous le prétexte qu'il était hanté. Par ce devin l'emplacement idéal se trouvait sur le littoral, en face de la baie.

La Population déménagea et s'installa dans des maisons en falafa et fandraka (végéta d'origine malgache). Le fondateur du village serait un certain Rangissi Ousséni, ressortissant de Madagascar. Ses petits fils vivent encore à Chiconi. L'ainé Madi Hamada prétend être le doyen mâle du village, il serait né vers 1902. Avec son frère Moussa, ils partagèrent une case traditionnelle en terre comportant deux pièces. Leur père était un exploitant agricole qui avait profité des réformes agraires du début du siècle, renddant plus de terres agricoles accessibles aux cultivateurs locaux, pour s'installer à son compte. Secondé par ses fils, il se lança dans l'exploitation des cultures de substance et de rente (coprah, vanille...) qui leur fournit des revenus assez substantiels. Chiconi est d'ailleurs une des premières localités productrice de vanille.

Chiconi est aussi réputé dans toute l'île de Mayotte par une tradition orale, d'être le village mangeur d'âne. En effet on raconte que des jeunes du village mourant de faim avait capturer un âne puis les ont fait cuire pour le manger, malheureusement deux de ses jeunes sont mort par la suite, aujourd'hui le 3 ème est encore vivant..!

Capital de l'ambiance de Mayotte, Chiconi est un village qui n'a rien perdu de ses racines malgaches, on y trouve l'un des plus grand artiste de Mayotte (le chanteur international Mikidache) et les artistes les plus en vogue (Le groupe Klan Demba, le chanteur Jimmy, Foundi Colo Assani, le groupe ragnao dzobi). Chiconi à aussi beaucoup de jeune talent (le jeune chanteur Désiré, on a Studio Live Riddim avec DS Zone qui représente et anime le mouvement HipHop et urbain...) etc....Les succès s'enchaînent au fil des années.

Chiconi est aussi connue grâce à sa rocade dite de "Bamana" et à son embarcadère. Decouvrez la place Scotram et son histoire de l'ancien marché de Mayotte et le port de débarquement. Chiconi possède une radio nommée Mayotte FM qui est ancrée à Sohoa et diffuse de la musique malgache et pour identifier le langage maternel de sa commune.

 

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